Catherine Urner, Charles Koechlin and The Bride of God

Fiche du document

Date

2015

Type de document
Périmètre
Langue
Identifiant
Relations

Ce document est lié à :
Les Cahiers de la Société québécoise de recherche en musique ; vol. 16 no. 1-2 (2015)

Collection

Erudit

Organisation

Consortium Érudit

Licence

Tous droits réservés © Société québécoise de recherche en musique, 2017

Résumé Fr En

Prenant appui sur des travaux récents de Barbara Urner Johnson et de Robert Orledge, cet article se propose d’examiner la relation pédagogique et les collaborations musicales entre le compositeur français Charles Koechlin et son élève et amante américaine, Catherine Urner. Se concentrant sur les manuscrits inédits de l’une de leurs plus substantielles collaborations musicales, le poème symphonique The Bride of God (1924-1929), cet article trace la chronologie de la composition de l’oeuvre, décrit sa structure narrative, et suggère que l’apport d’Urner a été plus important que ce qui a été proposé jusqu’à présent. Cet article décrit aussi des éléments du style compositionnel d’Urner et montre que même si elle avait été influencée par Koechlin durant les années 1920, elle a exploré d’autres pistes compositionnelles après leur rupture. En somme, cet article offre une esquisse préliminaire de la trajectoire musicale d’Urner durant les années 1920 et 1930 ainsi que du rôle important de Koechlin dans le développement de celle-ci.

Developing upon recent studies by Barbara Urner Johnson and Robert Orledge, this article examines the pedagogical relationship and musical collaborations between French composer Charles Koechlin and his American student and lover, Catherine Urner. Drawing on the unpublished manuscripts of their most important collaborative work, the symphonic poem The Bride of God (1924-1929), this article traces the chronology and nature of their collaboration, outlines the work’s narrative structure, and argues that Urner’s input was more important than has been previously claimed. The article also highlights elements of Urner’s compositional style and techniques and shows that while she may have been indebted to Koechlin’s musical and aesthetic influence throughout the 1920s, when their intimate relationship ceased, she was compelled to explore new compositional paths. Ultimately, this article offers a preliminary sketch of Urner’s musical trajectory throughout the 1920s and early 1930s as well as the important roles that Koechlin assumed in her musical development.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en