Marges et périphéries : un espace pour des pratiques non touristiques. Le cas de Concepción au Chili

Fiche du document

Date

2014

Discipline
Type de document
Périmètre
Langue
Identifiant
Relations

Ce document est lié à :
Téoros ; vol. 33 no. 2 (2014)

Collection

Erudit

Organisation

Consortium Érudit

Licence

Tous droits réservés ©Université du Québec à Montréal, 2014




Citer ce document

Capellà Miternique Hugo et al., « Marges et périphéries : un espace pour des pratiques non touristiques. Le cas de Concepción au Chili », Téoros: Revue de recherche en tourisme, ID : 10.7202/1042434ar


Métriques


Partage / Export

Résumé 0

En Amérique du Sud, comme ailleurs dans le monde, le tourisme peut aussi bien générer une manne de richesse que créer une véritable pandémie. Dans certaines régions, le regard et les intérêts des touristes ont, par exemple, complètement occulté ceux des habitants qui se voient alors reniés, voire expulsés. Cependant, ces phénomènes ne sont pas inexorables, et de nombreuses régions et villes du monde, sinon la majorité, malgré leurs atouts, sont plutôt exclues de la sphère touristique et vivent à l’abri de ces débordements. À l’ombre de ces excès apparaissent donc certaines régions qui suscitent un intérêt par le fait qu’elles soient non touristiques. Les touristes, à la recherche d’une certaine authenticité, s’y déplacent sachant que ces villes ne sont pas construites de toutes pièces pour eux. Concepción, la deuxième plus grande ville du Chili, est un bel exemple de destination « non touristique ». À travers l’étude de cas de cette ville, cet article a pour objectif d’analyser les espaces « marginaux ». Ce cas permettra de mieux comprendre l’intérêt croissant que génèrent ces lieux, jusque-là restés dans l’ombre.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en