La Société de musique contemporaine du Québec : un modèle d’institutionnalisation de la musique de création au Québec (1966-1971)

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2008

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Les Cahiers de la Société québécoise de recherche en musique ; vol. 10 no. 1 (2008)

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Ariane Couture, « La Société de musique contemporaine du Québec : un modèle d’institutionnalisation de la musique de création au Québec (1966-1971) », Les Cahiers de la Société québécoise de recherche en musique, ID : 10.7202/1054171ar


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Depuis sa fondation en 1966, la Société de musique contemporaine au Québec (SMCQ) a joué un rôle fondamental dans l’histoire de la création musicale au Québec, notamment au niveau de l’institutionnalisation de la musique de création. En tenant compte de l’expérience du Domaine musical en France, la SMCQ a développé son propre modèle de fonctionnement et de mise en valeur de la musique contemporaine. L’examen des cinq premières saisons (1966 à 1971) de la SMCQ permettra d’étudier la mise en application des paramètres de son modèle, tant au niveau de son programme artistique et de la périodisation des oeuvres que de la formation des musiciens, et de vérifier comment elle a du s’adapter aux exigences des organismes subventionnaires, aux pressions du marché de la culture et aux besoins des spectateurs.

Since its inception in 1966, the Société de musique contemporaine du Québec (SMCQ) has played a fundamental role in the history of original cultural productions in music, and more specifically in defining or “institutionalizing” new music in Quebec. Using the knowledge derived from the French Domaine musical experience, the SMCQ developed its own set of conditions favouring the performance and promotion of contemporary music. An examination of the SMCQ’s first five concert seasons (1966 to 1971) reveals how it applied the parameters of this model to artistic direction, periodicity of performances, and appropriate training of musicians. It also reveals the ways in which the SMCQ had to adapt to the requirements of funding agencies, to the pressures of the cultural market, and to the public’s needs.

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