Levels and Prevalence of Mental Health Functioning in Canadian University Student-Athletes

Fiche du document

Date

2018

Discipline
Type de document
Périmètre
Langue
Identifiant
Relations

Ce document est lié à :
Canadian Journal of Higher Education ; vol. 48 no. 2 (2018)

Collection

Erudit

Organisation

Consortium Érudit

Licence

Copyright (c), 2018Krista J.Van Slingerland, NatalieDurand-Bush, ScottRathwell



Citer ce document

Krista J. Van Slingerland et al., « Levels and Prevalence of Mental Health Functioning in Canadian University Student-Athletes », Canadian Journal of Higher Education / Revue canadienne d'enseignement supérieur, ID : 10.7202/1057108ar


Métriques


Partage / Export

Résumé En Fr

We examined the level and prevalence of mental health functioning (MHF) in intercollegiate student-athletes from 30 Canadian universities, and the impact of time of year, gender, alcohol use, living situation, year of study, and type of sport on MHF. An online survey completed in November 2015 (N = 388) and March 2016 (n = 110) revealed that overall, MHF levels were moderate to high, and more student-athletes were flourishing than languishing. MHF levels did not significantly differ across time based on gender, alcohol use, living situation, year of study, and type of sport. Eighteen percent reported a previous mental illness diagnosis and yet maintained moderate MHF across time. These findings support Keyes’ (2002) dual-continua model, suggesting that the presence of mental illness does not automatically imply low levels of well-being and languishing. Nonetheless, those without a previous diagnosis were 3.18 times more likely to be flourishing at Time 1 (November 2015).

Nous avons étudié la santé mentale d’étudiants athlètes provenant de 30 universités canadiennes, ainsi que l’influence des variables suivantes : temps de l’année, sexe, consommation d’alcool, condition de logement, année d’étude, et type de sport. Un questionnaire en ligne complété aux mois de novembre 2015 (N = 388) et mars 2016 (n = 110) a révélé que la santé mentale des participants variait d’un niveau moyen à élevé et n’était pas influencée par les autres variables. Un plus grand nombre de participants s’épanouissaient comparativement à ceux qui languissaient. Les participants rapportant un diagnostic de trouble mental (18%) maintenaient tout de même un niveau modéré de santé mentale à travers le temps, suggérant que la présence d’une maladie mentale n’implique pas nécessairement un niveau de bien-être inférieur (Keyes, 2002). Toutefois, les étudiants athlètes sans diagnostic antérieur étaient plus aptes (3.18 fois) à s’épanouir au temps 1 de l’étude (novembre 2015).

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en