Denying Assisted Dying Where Death is Not ‘Reasonably Foreseeable’: Intolerable Overgeneralization in Canadian End-of-Life Law

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2018

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Canadian Journal of Bioethics ; vol. 1 no. 3 (2018)

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Kevin Reel, « Denying Assisted Dying Where Death is Not ‘Reasonably Foreseeable’: Intolerable Overgeneralization in Canadian End-of-Life Law », Canadian Journal of Bioethics / Revue canadienne de bioéthique, ID : 10.7202/1058253ar


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Résumé En Fr

The recent change in Canadian law to allow access to medical assistance in dying restricts eligibility, among its other criteria, to those for whom “natural death has become reasonably foreseeable.” A recent review of certain aspects of the law examined the evidence pertaining to extending access to assisted dying in three particular request situations currently denied: requests by mature minors, advance requests, and requests where mental illness is the sole underlying medical condition [1]. The requirement for this review was included in the legislation that introduced medical assistance in dying in Canada. Both the original change in the law and the review itself neglected to consider those with intolerable suffering for whom natural death is not reasonably foreseeable. This paper explores the possibility that access to assisted dying should be extended by removing this limiting criterion. It also considers the ethical challenges this might present for those who work in rehabilitation.

La récente modification de la loi canadienne permettant l’accès à l’aide médicale à mourir en restreint l’admissibilité, entre autres critères, à ceux pour qui « la mort naturelle est devenue raisonnablement prévisible ». Une révision récente de certains aspects de la loi a examiné les preuves concernant l’accès à l’aide médicale à mourir dans trois situations de refus : demandes de mineurs matures, demandes anticipées et demandes pour lesquelles la maladie mentale est la seule condition médicale sous-jacente [1]. L’exigence de cet examen a été incluse dans la loi qui a introduit l’aide médicale à mourir au Canada. Tant le changement initial de la loi que l’examen lui-même négligent la prise en compte de ceux qui ont des souffrances intolérables, et pour lesquels la mort naturelle n’est pas raisonnablement prévisible. Cet article explore la possibilité d’étendre l’accès à l’aide médicale à mourir en supprimant ce critère limitatif. Il considère également les défis éthiques que cela peut présenter pour ceux qui travaillent en réhabilitation.

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