The Strange, Second Death of Lewis Yealland

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2011

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Ontario History ; vol. 103 no. 2 (2011)

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Dennis Duffy, « The Strange, Second Death of Lewis Yealland », Ontario History, ID : 10.7202/1065449ar


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Lewis Ralph Yealland (1885-1954), a graduate of University of Western Ontario’s medical school, migrated to the imperial capital in 1915, where he worked on shell-shock cases at the Queen’s Square hospital. His efforts won him the praise of his superiors, and he published a survey of his cases and the therapies he employed in 1918. He spent the remainder of his career as a Harley Street physician, specializing in the treatment of alcoholism. UWO granted him an honourary degree in 1948. Then, beginning in 1985, his reputation began its posthumous disintegration. Scholars, a prominent novelist, and a filmmaker alike viewed him and his electroshock therapies as barbarous. Yet a carefully contextualized account of his practices compels us to revise this recent revisionism. Neither an attempt at advocacy nor a venture in setting the record straight, my treatment of Yealland and his work on shell-shock provides an alternative reading to a subject that contemporary discourse made up it mind about too quickly.

Lewis Ralph Yealland (1885-1954), diplômé de l’école de médecine de l’University of Western Ontario, a émigré en 1915 à Londres, où il a traité à l’hôpital de Queen’s Square les victimes de psychoses traumatiques provoquées par éclatement d’obus. Ses travaux ont été loués par ses supérieurs, et en 1918 il a publié un aperçu des cas qu’il avait traités et des thérapies qu’il avait utilisées. Il a passé le reste de sa carrière dans Harley Street comme médecin spécialisé dans le traitement de l’alcoolisme. UWO lui a accordé un diplôme honoraire en 1948. Mais à partir de 1985, sa réputation a commencé à se ternir. Des érudits, un romancier connu, et un cinéaste l’ont tous traité de barbare à cause de son utilisation de l’électrochoc dans ses thérapies. Cependant, une étude bien contextualisée de ses pratiques nous oblige à remettre en question ce révisionisme récent. Sans vouloir le défendre, et sans prétendre rétablir la vérité, j’offre dans mon traitement de Yealland et de ses travaux une interprétation alternative d’un sujet sur lequel nos contemporains ont peut-être tranché trop rapidement.

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