Le sexisme en archéologie, ça n’existe pas

Fiche du document

Date

2019

Type de document
Périmètre
Langue
Identifiant
Relations

Ce document est lié à :
Canadian Journal of Bioethics ; vol. 2 no. 3 (2019)

Collection

Erudit

Organisation

Consortium Érudit

Licence

All Rights Reserved ©, 2019LauraMary, BélinePasquini, SégolèneVandevelde




Citer ce document

Laura Mary et al., « Le sexisme en archéologie, ça n’existe pas », Canadian Journal of Bioethics / Revue canadienne de bioéthique, ID : 10.7202/1066480ar


Métriques


Partage / Export

Résumé Fr En

Les archéologues sont confronté·e·s à de nombreuses questions éthiques dans leur pratique quotidienne ; ces questionnements portent aussi sur leurs pratiques et sur leurs comportements vis-à-vis de leurs pairs. La mise en lumière des discriminations liées au genre, parfois combinées à d’autres éléments tels que l’ethnicité, l’orientation sexuelle, l’origine sociale, les capacités physiques ou les croyances religieuses, apparaît dès lors comme un élément fondamental de la réflexion sur l’éthique professionnelle en archéologie. L’exposition « Archéo-Sexisme » présentée ici, initiative conjointe de l’association Archéo-Éthique et de Paye Ta Truelle, est un exemple d’une telle réflexion.

Archaeologists are confronted with many ethical issues in their daily practice; these questions also concern their practices and their behaviour towards their peers. The highlighting of gender discrimination, sometimes combined with other elements such as ethnicity, sexual orientation, social origin, physical abilities or religious beliefs, should thus be a fundamental element in reflections on professional ethics in archaeology. The “Archaeo-Sexism” exhibition presented here, a joint initiative of the Archaeo-Ethics Association and Paye Ta Truelle, is an example of such reflection.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en