2019
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Intersections : Canadian Journal of Music ; vol. 39 no. 1 (2019)
© Canadian University Music Society / Société de musique des universités canadiennes, 2021
Quintina Carter-Ényì et al., « How We Got into Drum Circles, and How to Get Out: De-Essentializing African Music », Intersections: Canadian Journal of Music / Intersections: Revue canadienne de musique, ID : 10.7202/1075343ar
Drums of Passion (1960), l’album iconique du percussionniste nigérian Babatunde Ọlátúnjí, a attiré l’attention de musiciens américains éminents, de John Coltrane à Grateful Dead, et a incité les générations subséquentes à découvrir le djembé et les polyrythmies de l’Afrique de l’Ouest. Actuellement, la prolifération dans des contextes pédagogiques de cercles de tambours djembés est inquiétante, car ces cercles sont « basés sur l’appropriation et la transformation partielle » des traditions de la percussion africaine. Notre article propose des alternatives aux cercles de djembé en reconnaissant et embrassant la mélodie africaine, en particulier les idiophones à hauteur déterminée et le répertoire choral. Nous décrivons un programme, crée par deux « Historically Black Colleges » aux États-Unis, qui aborde une représentation plus équitable et plus précise des cultures africaines grâce à la littératie technologique et une grande variété de modalités d’apprentissage.