« Personne ne va s’évader de la prison de la langue » : Galatea 2.2 de Richard Powers

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2021

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Écosystème ; vol. 3 no. 1 (2021)

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Arnaud Regnauld, « « Personne ne va s’évader de la prison de la langue » : Galatea 2.2 de Richard Powers », Écosystème, ID : 10.7202/1075897ar


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Dans cet article, Arnaud Regnauld aborde la question de la création littéraire et de l’expérience esthétique à partir du roman de Richard Powers intitulé Galatea 2.2. Que se passerait-il en effet si une machine pouvait réellement produire une forme pertinente d’analyse littéraire et réussir à se faire passer pour un être humain? Au-delà des questions de connaissance et de cognition, s’il n’y avait pas de différence entre le cerveau humain et un réseau neuronal, qu’est-ce que cela signifierait en matière d’expérience esthétique? L’enjeu de cet article vise à déterminer les limites de la simulation. En d’autres termes, une machine est-elle susceptible de formuler un jugement esthétique selon une logique computationnelle fondée sur le calcul?

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