Le topos du jardin comme « tapis de Turquie » au temps des humanistes, une figure d’art et de mémoire

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2020

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Intermédialités : Histoire et théorie des arts, des lettres et des techniques ; no. 35 (2020)

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Laurent Paya, « Le topos du jardin comme « tapis de Turquie » au temps des humanistes, une figure d’art et de mémoire », Intermédialités: Histoire et théorie des arts, des lettres et des techniques / Intermediality: History and Theory of the Arts, Literature and Technologies, ID : 10.7202/1076368ar


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L’architecture des premiers jardins modernes s’inscrit dans le cadre d’une anthropologie culturelle en interaction avec l’environnement matériel, artistique, cognitif et social. Une « concordance des arts » s’exprime alors explicitement entre l’architecture des jardins ornés de parterres et la confection des tapis orientaux d’apparat. La production d’images et d’espaces s’appuie en effet sur des modèles rhétoriques situés au-delà des réalités sensibles spécifiques à chaque discipline artistique.

The architecture of early modern gardens fit into a conception of cultural anthropology that involved material, artistic, cognitive, and social environments. A “concordance between the arts” then explicitly connected gardens adorned with flower beds and the making of luxurious oriental carpets. The production of new images and spaces relied on rhetorical models, situated beyond the sensory realities specific to each artistic discipline.

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