Jardiner pour l’oeil et pour l’oreille : le destin musical de la Théorie de l’art des jardins (1779–1785) de C. C. L. Hirschfeld

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2020

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Intermédialités : Histoire et théorie des arts, des lettres et des techniques ; no. 35 (2020)

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Étienne Morasse-Choquette, « Jardiner pour l’oeil et pour l’oreille : le destin musical de la Théorie de l’art des jardins (1779–1785) de C. C. L. Hirschfeld », Intermédialités: Histoire et théorie des arts, des lettres et des techniques / Intermediality: History and Theory of the Arts, Literature and Technologies, ID : 10.7202/1076370ar


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Vers la fin du 18e siècle, la question du rôle des sens dans l’expérience esthétique que procure l’art des jardins fit débat. Alors que certains auteurs se montrèrent réticents à l’idée d’accorder une valeur esthétique à tout autre sens que la vue dans un jardin, C. C. L. Hirschfeld fut l’un des premiers théoriciens à s’intéresser à la nature intersensorielle de cet art. Cet article examine plus spécifiquement la place de l’ouïe dans sa célèbre Théorie de l’art des jardins (1779–1785).

Towards the end of the eighteenth century, the role of the senses in the aesthetic experience of garden art emerged as a topic of discussion. While some authors expressed doubt at the idea of attributing aesthetic value to any other senses than sight in the space of a garden, C. C. L. Hirschfeld was one of the first theoreticians to underline the intersensory nature of this art. This article analyzes specifically the place of hearing in Hirschfeld’s influential Theory of Garden Art (1779–1785).

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