Lyres, harpes, luths et cithares : l’instrumentarium du psaume 136, Super flumina Babylonis

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2022

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Topiques, études satoriennes ; vol. 6 (2022)

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©, 2022Jean-NoëlPascal




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Jean Pascal, « Lyres, harpes, luths et cithares : l’instrumentarium du psaume 136, Super flumina Babylonis », Topiques, études satoriennes / Topoï Studies, Journal of the SATOR, ID : 10.7202/1096712ar


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Les versets initiaux du Super flumina évoquent le silence contraint des Israélites exilés à Babylone, qui laissent en repos leurs kinnors et refusent de chanter pour leurs vainqueurs. Entre 1700 et 1820, les nombreuses traductions, imitations et paraphrases poétiques déploient, pour orchestrer ce bouleversant silence, tout un instrumentarium dont l’analyse éclaire, par-delà la plus ou moins grande habileté des poètes, l’évolution de la conception de la poésie lyrique.

In the first verses of the Super flumina, the Hebrews are forced to remain silent. They quit their Kinnors and refuse to sing for their victors. From 1700 to 1820, the numerous poetic translations, imitations and paraphrases use an important instrumentarium in order to orchestrate this touching silence, the study of which, regardless of the skill of the poets, allows an interesting approach to the conception of lyric poetry.

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