Biens culturels, transmission de culture et croissance

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2000

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L'Actualité économique ; vol. 76 no. 4 (2000)

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Luc Champarnaud et al., « Biens culturels, transmission de culture et croissance », L'Actualité économique, ID : 10.7202/602334ar


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Dans ce modèle à générations imbriquées à la Diamond, les ménages produisent domestiquement une culture (inobservable et transmissible) en combinant biens culturels et culture transmise. La transmission involontaire de culture aux enfants produit une externalité positive non prise en compte par les parents et constitue donc une source d’inefficacité. Le gouvernement peut atteindre l’optimum de premier rang s’il peut discriminer les consommateurs selon leur âge et subventionner uniquement les biens culturels achetés par les jeunes. Dans le cas Cobb-Douglas considéré ici, ce taux est égal à l’élasticité de l’externalité sur la production de culture des jeunes.

We construct a two-periods OLG model in which households produce domestically a non-observable and transmissible commodity: "household culture" using cultural goods and transmitted culture as inputs. Parents fail to internalise the effect of unvoluntarily transmitted culture on their children's welfare. The social planner can implement the first best optimum if it is possible to subsidize cultural goods purchased by the young generation alone. When considering the Cobb-Douglas case, we find that the marginal subsidy rate is equal to the elasticity of cultural externality upon the cultural production of the young.

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