J.R. Dymond and Frank A. MacDougall: Science and Government Policy in Algonquin Provincial Park, 1931-1954

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1998

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Scientia Canadensis : Canadian Journal of the History of Science, Technology and Medicine ; vol. 22-23 (1998-1999)

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Copyright © Canadian Science and Technology Historical Association / Association pour l'histoire de la science et de la technologie au Canada, 1999



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Gerald Killan et al., « J.R. Dymond and Frank A. MacDougall: Science and Government Policy in Algonquin Provincial Park, 1931-1954 », Scientia Canadensis: Canadian Journal of the History of Science, Technology and Medicine / Scientia Canadensis: Revue canadienne d'histoire des sciences, des techniques et de la médecine, ID : 10.7202/800409ar


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Résumé En Fr

Between 1931 and 1954 Frank MacDougall, forester, superintendent of Algonquin Park (1931-1941) and later Deputy Minister of Lands and Forests, and John R. Dymond, University of Toronto zoologist, together fashioned a framework for formal scientific research in the park. MacDougall's resolve to initiate a multiple use management policy informed by research-based knowledge, and Dymond's passion to protect natural diversity for ecological study, were both shaped by developments in Britain and the United States. Their collaborative efforts resulted in a more protectionist policy for Algonquin including the establishment of fisheries, wildlife and forestry research facilities, the first nature reserves, and an innovative interpretive program—all of which profoundly shaped subsequent policies in other Ontario provincial parks.

Entre 1931 et 1954, Frank MacDougall, expert-forestier, directeur du parc Algonquin de 1931 à 1941 et plus tard sous-ministre des Terres et Forêts, et John R. Dymond, zoologiste en poste à la University of Toronto, conçurent en collaboration un cadre pour la recherche scientifique formelle menée dans le parc. La détermination de MacDougall de mettre en oeuvre une politique d’aménagement intégré des ressources s’appuyant sur des données de recherche et la passion de Dymond pour la protection de la diversité naturelle, condition indispensable à la recherche écologique, étaient inspirées des derniers développements en Angleterre et aux États-Unis. Leur collaboration a été à l’origine d’une politique plus protectionniste pour le parc Algonquin, incluant la création de pêcheries, la mise en place d’installations de recherche sur la faune et les forêts, la création des premières réserves naturelles et l’implantation d’un programme d’interprétation innovateur, toutes choses qui ont eu une incidence marquante sur les politiques élaborées par la suite dans d’autres parcs provinciaux ontariens.

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