Symphonies urbaines à rebours: Introduction au dossier Tracer les villes / Track the cities

Fiche du document

Type de document
Périmètre
Langue
Identifiants
Collection

Archives ouvertes

Licence

info:eu-repo/semantics/OpenAccess


Mots-clés Fr

Cinéma Ville Ambiances


Citer ce document

Andréa Franco et al., « Symphonies urbaines à rebours: Introduction au dossier Tracer les villes / Track the cities », HAL SHS (Sciences de l’Homme et de la Société), ID : 10670/1.02a166...


Métriques


Partage / Export

Résumé Fr

Les symphonies urbaines constituaient un genre important du cinéma documentaire d’avant-garde des années 20. En porte à faux avec les films d’actualité, ils consistaient moins à transmettre une information factuelle de la réalité, que de puiser dans la magie de l’ordinaire et du quotidien. La plupart des cinéastes de l’époque envisageaient leur art comme une façon de forger la conscience sociale en se penchant sur l’activité urbaine pour en révéler les objets poétiques. Si les figures de Dziga Vertov et Walter Ruttmann restent les plus iconiques, n’en oublions pas pour autant les travaux novateurs de Paul Strand, Charles Sheeler, André Sauvage ou Alberto Cavalcanti. L’expression d’une utopie se retrouvait d’un film à l’autre allant jusqu’à proposer chez Vertov la métaphore réflexive du cinématographe comme instrument d’éducation collectif.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets