Étude génétique du conte-poème de Jules Supervielle : vers une redéfinition des frontières génériques

Fiche du document

Date

1 décembre 2013

Discipline
Type de document
Périmètre
Langue
Identifiants
Relations

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/reference/issn/1961-991X

Organisation

PREO

Licences

Licence CC BY 4.0 , info:eu-repo/semantics/openAccess



Citer ce document

Sophie Fischbach, « Étude génétique du conte-poème de Jules Supervielle : vers une redéfinition des frontières génériques », Textes et contextes, ID : 10670/1.0685ff...


Métriques


Partage / Export

Résumé Fr En

À plusieurs reprises, Jules Supervielle a souligné la porosité des frontières génériques de ses contes et poèmes : en effet, la forme du conte est détournée et intégrée dans l’oeuuvre poétique, tandis que le conte apparaît souvent proche de la prose poétique et du poème en prose. De là, on peut se demander dans quelle mesure les distinctions entre récit et poésie établies par Jakobson et Todorov sont toujours opératoires. L’étude de la genèse de deux contes-poèmes de Supervielle, Les B.B.V., à la frontière de la prose poétique, et L’Enfant de la haute mer, né du poème « Le Village sur les flots », permet de préciser la redéfinition des frontières génériques qui s’opère dans l’oeuvre supervillienne.

Jules Supervielle has often insisted on the elasticity of his tales and poems boundaries. The tale’s form is indeed turned away and inserted in poetical works, whereas the tale frequently looks like poetic prose or a prose poem. In these conditions, are Jakobson and Todorov’s distinctions between narrative and poetry still valid ? Through a genetic study of Les B.B.V., a tale close to poetic prose, and L’Enfant de la haute mer, a tale born of the poem « Le Village sur les flots », we will define the redefinition of boundaries which takes place in Supervielle’s work.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines