TGV Paris-Lyon : un an après, l’arrivée de Trenitalia rime-t-elle effectivement avec prix plus bas ?

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16 décembre 2022

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Florent Laroche, « TGV Paris-Lyon : un an après, l’arrivée de Trenitalia rime-t-elle effectivement avec prix plus bas ? », HAL-SHS : économie et finance, ID : 10670/1.0a8h36


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[Extrait] La crise liée au coronavirus en avait retardé l’échéance. Pour la première fois, le 18 décembre 2021, un train d’une compagnie étrangère reliait deux villes françaises après plus de 80 ans de monopole par la SNCF. Une rame Frecciarossa du transporteur Trenitalia quittait Paris pour Milan, desservant au passage Lyon-Part Dieu, Chambéry et Modane du côté français des Alpes. Deux allers-retours quotidiens pour commencer, puis trois à partir du mois d’avril et cinq deux mois plus tard, les trois derniers seulement entre Paris et Lyon. L’ouverture à la concurrence, promettait l’Union européenne, devait offrir au consommateur une qualité de service renforcée à des prix plus attractifs en obligeant un opérateur en situation de monopole à comprimer ses marges. Nos travaux de recherche synthétisant plusieurs observations faites sur le Vieux Continent tendaient à montrer que l’hypothèse semblait vérifiée avec des écarts plus ou moins importants selon les pays. Un an après, qu’en est-il sur la ligne à grande vitesse Paris-Lyon, la plus ancienne et la plus empruntée d’Europe (44 millions de passagers en 2019) ? ...

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