Le paradoxe hongrois : défense de la chrétienté versus refus du message papal universaliste

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Hongrie chrétienté


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Paul Gradvohl, « Le paradoxe hongrois : défense de la chrétienté versus refus du message papal universaliste », Archive ouverte de Sciences Po (SPIRE), ID : 10670/1.0c6l1w


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En Hongrie, les recensements offrent une première base pour percevoir les affiliations confessionnelles : en 1930 deux tiers de la population est catholique dont 2,3 % sont gréco-catholiques. La part des Réformés (20%), des Luthériens (6 %) et des Juifs (5 %) diminue en raison des nouvelles frontières telles que fixées par le traité de Trianon (1920). Par comparaison, en 1949 l’Holocauste des Juifs hongrois ramène la population juive à 1,5 %. Toutefois, la Hongrie est un des rares pays où une minorité juive significative a perduré. Sur la même période, le poids démographique des autres groupes religieux a évolué moins drastiquement : 70,5 % de Catholiques, 21,9 % de Réformés, 5,2 % de Luthériens et seulement 0,2 % de non affiliés religieusement (absence de leur confession parmi les choix offerts ou refus d’affiliation)...

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