La recherche de l’amortalité est-elle une forme de transhumanisme ?

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2020

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Didier Cœurnelle, « La recherche de l’amortalité est-elle une forme de transhumanisme ? », Corps & Psychisme, ID : 10670/1.0j04ie


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Nous vivons plus longtemps que jamais auparavant dans l’histoire de l’humanité, mais notre vie reste trop courte, ne dépassant pas 120 ans. Pour vivre en bonne santé beaucoup plus longtemps, voire un jour sans vieillissement, pour devenir « amortel », il faudra des progrès scientifiques de rupture. Le transhumanisme au sens strict vise à améliorer l’humain. Le transhumanisme au sens large aborde les questions liées à tous les impacts des progrès technologiques sur les femmes, les hommes et la société. La recherche de l’amortalité est-elle une forme de transhumanisme ? Oui, car le but est d’aller au-delà de nos frontières biologiques. Non, car, le but est de nous permettre, non pas d’être différents, mais au contraire, d’être plus humains pendant plus longtemps.

We are living for longer than we have ever lived in human history, but our lives remain too short, never making it past 120 years. To live in good health for far longer, or even one day without aging, to become “amortal”, there must be radical scientific progress. In its strictest sense, transhumanism aims to improve humans. In a broader sense, transhumanism approaches the questions related to all of the impacts of technological progress on men, women and society. Is the search for amortality a form of transhumanism? Yes, as its goal is to go beyond our biological limits. No, because the goal is not to enable us to be different, but rather to be more human for longer.

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