23 novembre 2012
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Martín Hopenhayn, « Droga y Violencia: Fantasmas de la Nueva Metrópoli Latinoaméricana », Polis, ID : 10670/1.0l8cuc
Dans un contexte marqué par des villes qui s’agrandissent, qui se transforment, qui se déstructurent et qui miraculeusement survivent à l’exclusion, à l’entropie et aux multiples temporalités qui les caractérisent, l’auteur propose de construire/d’identifier deux fantômes qui parcourent/hantent les villes latino-américaines, celui de la drogue et celui de la violence. Selon cette perspective de fortes conjectures révèlent le fait que le fantôme signale un décalage entre la perception d’un problème et la magnitude de celui-ci dans les faits ; qu’il est employé politiquement à des fins de contrôle social ainsi que d’hégémonie globale ; qu’il opère comme un déplacement de l’insécurité et comme un relais de la guerre froide à la guerre contre les drogues. Et enfin, il opère en stigmatisant certains groupes en particulier.