Israël, la « sharonostalgie » et le désarroi

Fiche du document

Date

2007

Discipline
Type de document
Périmètre
Langue
Identifiant
Collection

Cairn.info

Organisation

Cairn

Licence

Cairn




Citer ce document

Sylvain Cypel, « Israël, la « sharonostalgie » et le désarroi », Politique étrangère, ID : 10670/1.0rkuz2


Métriques


Partage / Export

Résumé Fr En

La dégradation de l’image d’Ehoud Olmert et le désarroi de la société israélienne après l’échec de la guerre au Liban se traduisent visiblement par un glissement vers les solutions de force et les formations de droite – même si certaines voix, jusqu’à l’intérieur du gouvernement comme celle de Tzipi Livni, s’élèvent en faveur de solutions politiques réintégrant Israël dans la négociation régionale. Le discrédit de la classe dirigeante dans l’opinion demeure un élément décisif.

The Israeli society, since the failure of last summer’s war in Lebanon to reach its political goals, has plunged into a deep crisis of confidence. Today, the Israeli environment—Palestine, Lebanon, Iran and the bogging down of the “American friend” in Iraq—seems more frightening than ever. The Prime Minister Ehud Olmert and his government have an image of impotency and, more than that, of corruption. Hence, disorientation is all around. No leader has replaced general Sharon, who gave his people the feeling that he knew how and where to lead them. This “Sharonostalgia” generates two phenomena: the quest for a new “providential man,” and a growing mentality of “everyman for himself.”

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en