Shakespeare au « banquet » des langues étrang(èr)es

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1 mai 2014

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Mylène Lacroix, « Shakespeare au « banquet » des langues étrang(èr)es », HAL-SHS : littérature, ID : 10.4000/shakespeare.2793


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Résumé Fr

Cet article propose un aperçu des diverses fonctions du recours aux mots étrangers dans le théâtre de Shakespeare, du simple mot isolé aux passages presque entièrement écrits dans une langue étrangère. La métaphore du banquet convoquée dans le titre fait d’abord allusion au foisonnement de ces mots étrangers dans des pièces telles que Peines d’amour perdues, Les Joyeuses Commères de Windsor, ou encore Henry V. Mais l’image du banquet suggère également une certaine affinité, à la Renaissance, entre saveur et savoir, entre mets et mots. Les mots étrangers s’apparentent ainsi parfois à des mets exotiques dont on se délecte tout particulièrement sur scène. Ils représentent pourtant un véritable défi pour le traducteur, qui ne sait pas toujours comment traiter ces éléments allogènes dans le texte à traduire.

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