“Gegen gewisse, sozusagen mystische Tendenzen”. L’œuvre romanesque d’Arthur Schnitzler

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2000

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Adelheid Koch-Didier, « “Gegen gewisse, sozusagen mystische Tendenzen”. L’œuvre romanesque d’Arthur Schnitzler », Austriaca : Cahiers universitaires d'information sur l'Autriche (documents), ID : 10670/1.0xcnl5


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Résumé De Fr

Die Romane Arthur Schnitzlers blieben in der Forschung lange zugunsten der Theaterstücke und der Novellen vernachlässigt. Gegenstand der vorliegenden Studie ist weniger eine Gegenüberstellung von Der Weg ins Freie, des fragmentarischen Theaterromans, auch Wurstel betitelt, und Therese. Chronik eines Frauenlebens, als vielmehr die Analyse der 1928 publizierten späten Chronik, die neue, bis dahin unbekannte Perspektiven in der «Schnitzlerschen Welt» eröffnet. Ästhetisch betrachtet weist sie durch die realistische Schreibweise und durch den repetitiven Erzählrhythmus auf die Strömung der Neuen Sachlichkeit der 1930er Jahre und (in Ansätzen) auf den späteren «Nouveau Roman» voraus. In historischer, politischer und kultureller Sicht entlarvt und verurteilt der «Chronist eines Frauenlebens » radikaler denn je die Dekadenzerscheinungen der Wiener Gesellschaft von der Vorkriegszeit bis in die 1920er Jahre samt den partriarchalischen Strukturen der Familie und der Arbeitswelt, an denen die ledige Mutter und Gouvernante Therese zerbricht.

L’œuvre romanesque d’Arthur Schnitzler fut longtemps négligée par la critique en faveur des pièces de théâtre et des nouvelles. Plus encore que sur une comparaison des trois textes de référence, Der Weg ins Freie, le fragment de roman intitulé tantôt Theaterroman, tantôt Wurstel et Therese. Chronik eines Frauenlebens, cette étude porte avant tout sur la chronique tardive, publiée en 1928, qui ouvre des dimensions inconnues jusqu’alors dans le «monde schnitzlérien». Sur le plan esthétique en effet, elle annonce, grâce à son écriture réaliste et grâce à son rythme narratif répétitif, le mouvement de la «Neue Sachlichkeit» des années 1930, de même qu’en filigrane, le Nouveau Roman. A l’échelle historique, politique et culturelle, le «chroniqueur de la vie d’une femme» dévoile et dénonce plus radicalement que jamais les phénomènes de décadence de la société viennoise de l’avant-guerre aux aimées 1920, avec ses structures patriarcales de la famille et du monde de travail, dans lesquelles la mère célibataire et la gouvernante Thérèse évolue et échoue.

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