Devenir des traces après crémation

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2004

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Hélène Gérard-Rosay, « Devenir des traces après crémation », Études sur la mort, ID : 10670/1.11y7tm


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Pour envisager ce vaste sujet du devenir des traces après la crémation je vous propose d’abord un tour d’horizon des divers arguments qui animent défenseurs et détracteurs de la crémation.D’autres pistes, habituellement laissées de côté, seront alors suivies dans une seconde partie. Nous explorerons ce thème faisant appel au principe de réalité22 et non au principe de plaisir, pour analyser le processus de deuil après crémation et nous verrons que cette question peut s’appréhender autrement par une réflexion d’ordre sémiologique, psychologique et pour conclure vers une réflexion sur l’infraculturel. Nous tenterons ainsi de trouver un éclairage devant des questions telles que:De quoi un individu a-t-il besoin pour vivre? Qu’est-ce qu’une trace? De quelle(s) trace(s) parlons-nous? S’agit-il de traces physiques, sociales, psychologiques?Dans le phénomène intégratif des cérémonies de crémation, moins la notion de trace existentielle future serait importante, plus la notion de trace psychologique serait profonde et lente à disparaître?Pourquoi est-il impossible à l’humain de se passer de traces? La mort serait-elle un passage à une autre «sémiogonie»? Pour aller du concret à l’abstrait, l’endeuillé aurait-il besoin d’une sorte d’objet transitionnel?

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