Barrer ou circuler : le paradoxe montagnard, l’exemple de Briançon et du col de Montgenèvre

Fiche du document

Date

2019

Périmètre
Langue
Identifiants
Relations

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/doi/10.4000/books.cths.5925

Collection

Archives ouvertes

Licence

info:eu-repo/semantics/OpenAccess



Sujets proches Fr

Traboule

Citer ce document

Hugues Paucot et al., « Barrer ou circuler : le paradoxe montagnard, l’exemple de Briançon et du col de Montgenèvre », HAL-SHS : histoire, ID : 10.4000/books.cths.5925


Métriques


Partage / Export

Résumé Fr

Devant les risques d’invasion, toute nation s’est vue contrainte à un moment ou à un autre de son histoire de barrer les accès à son territoire en fortifiant les points de passage empruntables par les armées ennemies ou les populations voisines. Mais ces axes sont aussi des voies de communication et d’échanges commerciaux essentielles au développement des pays limitrophes et des populations locales. Ainsi, parmi l’ensemble des points de passage entre France et Italie, le col de Montgenèvre représente, depuis bien avant notre ère, un lien essentiel d’unification, mais aussi une voie régulière de passage des armées. En conséquence, au fil des siècles, la circulation sera fluidifiée ou barrée au gré des politiques développées de part et d’autre du col. Si aujourd’hui, on peut raisonnablement penser que les canons se sont définitivement tus sur la frontière alpine, la réinstallation actuelle de points de contrôle illustre parfaitement la permanence de l’histoire.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Exporter en