2012
Cairn
Christophe Giolito, « Ondoyante beauté », Le Philosophoire, ID : 10670/1.12s4lw
La beauté peut être appréhendée dans son apparence, celle d’un chatoiement, d’un ondoiement, pour répondre aux impasses rencontrées par les grandes conceptions classiques de la philosophie : idéalisme aveugle ou empirisme réducteur. La brève analyse, qui n’a d’autre prétention que suggestive, s’appuie sur l’ouvrage du peintre William Hogarth, Analyse de la beauté (1753) ainsi que sur l’évocation de quelques représentations de la beauté féminine.