Seuil d'acceptabilité des technologies de santé : quel retour d'expérience 20 ans après ?

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Setti Rais Ali et al., « Seuil d'acceptabilité des technologies de santé : quel retour d'expérience 20 ans après ? », HAL-SHS : économie et finance, ID : 10670/1.1403cw


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Le National Institute for Health and Care Excellence (NICE) britannique est chargé de définir les recommandations sur les traitements et les soins disponibles au sein du panier de biens et services dans National Health Service (NHS) avec un double objectif d’excellence clinique et d’équilibre budgétaire. Dans le cadre de l’évaluation d’une technologie de santé, les gains de santé et les coûts induits sont mis en regard par le calcul d’un ratio incrémental coût-efficacité (Incremental Cost-Effectiveness Ratio, ICER) exprimant un coût par année de vie gagnée pondérée par la qualité de vie (Quality Adjusted Life Years, QALY). La valeur de l’ICER est alors confrontée au seuil d’acceptabilité ou de coût-efficacité des technologies de santé préalablement défini par le NICE depuis 2000. Ce seuil se situe entre £20,000 et £30,000 par QALY; en deçà de cet intervalle, la technologie de santé est considérée coût efficace et au-delà de £30,000 par QALY, le nouveau traitement est jugé trop coûteux pour le gain attendu en santé. L’objet de cet article est d’offrir une discussion critique sur les fondements méthodologiques du seuil d’acceptabilité des technologies de santé et de son utilisation courante par le NICE, en mettant notamment en évidence les écartements au modèle de référence ainsi que les problématiques d’équité pour les patients du NHS anglais.

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