The Lunchbox and Mumbai’s Dabbawallahs: Creating Spaces of Desire

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Joshil K. Abraham et al., « The Lunchbox and Mumbai’s Dabbawallahs: Creating Spaces of Desire », HAL-SHS : littérature, ID : 10.3917/etan.713.0341


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L’Inde est souvent présentée comme la plus grande démocratie au monde. Pourtant, c’est une société où les contrastes entre la réussite des classes supérieures et la situation des classes inférieures sont les plus criants. Cet article s’appuie sur The Lunchbox (2013) de Ritesh Batra : ce film de fiction offre un point de vue original sur la société indienne, bien différent de celui qui est souvent adopté. Il s’agit ici du monde socio-économique des employés de bureau effectuant en train leurs trajets journaliers entre Mumbai et ses banlieues éloignées, ainsi que du monde domestique des épouses et des mères au foyer. C’est surtout le réseau de relations dans lesquelles les individus sont pris qui est au centre du film. Sur le mode de la comédie et en utilisant des procédés narratifs spécifiques comme le genre épistolaire ou une structure temporelle non-linéaire, le film pose la question du verrouillage des vies individuelles dans une société de consommation de plus en plus dévorante. Comment s’émanciper des conditions matérielles, des liens familiaux et des coutumes sociales ? Comment créer de nouveaux espaces de liberté ?

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