Le projet Dauphine : laisser la parole aux jeunes femmes de la rue et agir ensemble pour lutter contre la violence structurelle par l’entremise de la recherche-action participative

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2015

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  • Flynn Catherine, Damant Dominique et Lessard Geneviève. (2015). Le projet Dauphine : laisser la parole aux jeunes femmes de la rue et agir ensemble pour lutter contre la violence structurelle par l’entremise de la recherche-action participative. Recherches féministes, 28, (2), p. 53-79.
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Catherine Flynn et al., « Le projet Dauphine : laisser la parole aux jeunes femmes de la rue et agir ensemble pour lutter contre la violence structurelle par l’entremise de la recherche-action participative », Constellation - Université du Québec à Chicoutimi, ID : 10670/1.1i540t


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Alors que l’intersectionnalité est devenue, selon l’expression employée par Kathy Davis, un véritable « buzzword » dans le champ des études féministes, plusieurs questionnements persistent quant à son utilisation pour valoriser la parole des femmes marginalisées et l’inclure dans les pratiques sociales. Les auteures présentent une recherche-action participative réalisée auprès d’un groupe de sept jeunes femmes de la rue de la région de Québec, sur le thème de la violence structurelle. Une analyse du processus, à partir des critères de scientificité de la recherche-action participative, montre la manière dont les participantes se sont engagées dans la réflexion sur leur expérience de la violence structurelle et dans l’expérimentation de stratégies pour la prévenir ou la surmonter ou encore y résister. While intersectionality is recognized, according to the wording of Kathy Davis, as a buzzword since last decades, several questions remain about its use to enhance the voice of marginalized women and to transform social practices. The authors present a participatory action-research conducted among a sample of seven street-involved young women from Quebec City area. An analysis of the process, from the scientific criteria of participatory action research, shows how the participants are engaged in reflection on their experience of structural violence and in experimental strategies to prevent, overcome and resist.

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