Associations et bureaucratisation : perspectives africaines

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13 avril 2021

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Laure Carbonnel et al., « Associations et bureaucratisation : perspectives africaines », HAL-SHS : sociologie, ID : 10.14428/emulations.037.01


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Les associations en Afrique, comme ailleurs, n’ont eu de cesse de se multiplier (Almeida-Topor, Georg, 1989) au point que Lester L. Salamon parle déjà en 1994 d’une « révolution associationnelle globale » aussi signifiante que la montée de l’État-nation (Salamon, 1994 : 109). Le champ de recherche est bien balisé, les associations constituant un champ d’études central en sciences sociales (Agulhon, 1978 ; Cottin-Marx, 2019 ; Diop, Benoist, 2007 ; Laville, Sainsaulieu, 2004 [1997] ; Tostensen, Tvedten, Vaa, 2001). Elles sont un point d’entrée privilégié pour analyser des domaines sociaux variés (culture, santé, activité professionnelle, religion), ou les catégories de personnes qu’elles réunissent (par exemple, associations paysannes, associations de jeunes, associations féminines). De nombreux travaux se sont intéressés à la trajectoire de leurs acteurs, aux fonctions sociales qu’elles remplissent, ou encore aux associations en tant qu’espace de gouvernance intermédiaire entre l’État et les citoyens (Bierschenk, Chauveau, Olivier de Sardan, 2000 ; Blundo, Le Meur, 2009 ; Diop, Benoist, 2007 ; Tostensen, Tvedten, Vaa, 2001)...

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