Une perversion ne peut exister que de sa disjonction avec le rapport sexuel. À partir d’un cas de voyeurisme-exhibitionnisme, nous développerons l’étude de cette père-version comme une suppléance au défaut d’une harmonie supposée de la relation entre les sexes, grâce à la production d’un signe, le phallus, qui présentifie le Sujet à travers le regard de l’autre sexe. La concordance avec une inhibition à agir une séparation avec l’objet maternel dé-montre la dépendance de cette version a-sexuée du coït à la carence d’une intervention d’un père réel dans le champ de la castration symbolique.
A perversion couldn’t exist separately from its disjunction with sexual intercourse. Using a case of peeping-exhibitionism, we will study this « dad-version » as making up for a supposed disharmony in the relation between sexes, through the production of a sign, phallus, which presents the Subject through the opposite sex’s gaze. In accordance with an inhibition to enact the separation from the maternal object, it shows that this sexless version of coïtus depends on failure of the real father to intervene in the symbolic castration complex.
ResumenUna perversión no puede existir que a partir de su ruptura con la relación sexual. A partir de un caso de un voyerista-exhibicionista desarrollaremos el estudio de esta perversión como una alternativa a la falta de una armonía supuesta entre los sexos ; gracias a la producción de un signo, el falus que representa el sujeto a través la mirada del otro sexo. La concordancia con una inhibición que se activa con la separación del objeto maternal, demuestra la dependencia de esta versión asexuada del coito a la carencia de la intervención de un padre real en el dominio de la castración simbólica.
