Une diplomatie du respect : le Japon et le multilatéralisme: Trois cas d'étude : l'Assemblée générale des Nations unies, le PNUD et l'AIEA depuis les années 2000

Fiche du document

Auteur
Discipline
Périmètre
Langue
Identifiants
Relations

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/altIdentifier/hdl/2441/2rqv8vafhi9kcq591a1u5a06cc

Collection

Archives ouvertes




Citer ce document

Sarah Tanke, « Une diplomatie du respect : le Japon et le multilatéralisme: Trois cas d'étude : l'Assemblée générale des Nations unies, le PNUD et l'AIEA depuis les années 2000 », HAL-SHS : sociologie, ID : 10670/1.1xxvsd


Métriques


Partage / Export

Résumé 0

Le Japon a mis en place une diplomatie multilatérale très active : contributions financières considérables, visibilité importante dans l’aide au développement, engagement pour le désarmement nucléaire, efforts pour obtenir un siège permanent au sein du Conseil de sécurité des Nations unies, etc. Cet ouvrage interroge d’abord la place que prend le multilatéralisme dans la diplomatie japonaise, plus particulièrement dans son histoire récente, dans la structure de son ministère des Affaires étrangères et chez ses diplomates. Deuxièmement et à l’inverse, comment peut-on qualifier le rôle que joue le Japon dans la diplomatie multilatérale globale ? L’Assemblée générale des Nations unies, le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) et l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) servent ici de cas d’étude pour enquêter sur le « style » japonais. Ainsi, le cadre d’analyse de la diplomatie multilatérale du Japon développé dans cet ouvrage est le concept d’une « diplomatie du respect ». (Résumé éditeur)

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets

Sur les mêmes disciplines

Exporter en