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2013
- handle: 10670/1.1zz6pb
- halshs: halshs-01003205
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Global cities Internationalization Globalisation State domain Domain, Public National domain Eysenck personality inventory Land ownership Land question Agrarian tenure Tenure of land Freehold Feudal tenure Landownership Public property Government property--Law and legislation Distribution, Cooperative Cooperative distribution Cooperative movement Movimiento cooperativista Sistema cooperativo Bienes públicos Bienes públicos patrimoniales Patrimonio del Estado Patrimonio federal Patrimonio municipal Patrimonio regional Propiedad pública Bienes de dominio público Bienes de uso público Bienes públicos Abord Mouvement Coopératif Internationalisation Globalisation Transnationalisation Internationalisation (économie politique) Globalisation EPI Eysenck, Inventaire de personnalité d' Mouvement coopératif Coopératisme Secteur coopératif Culture coopérative Domaines Domaine des collectivités publiques Domaine national Domanialité Domaine de l'État Biens de l'État Propriété de l'État Biens domaniaux Propriété publique Biens publics Domaine (droit administratif) Lecture en langue maternelle Lecture en langue seconde Biens fonciers Domaines Domaine foncier Régime foncier Terres, Tenure des Question agraire Propriété rurale Tenure Fonds Propriété domaniale Biens fonds Propriété terrienne Commande optimale Théorie du contrôle Contrôle, Théorie du Régulation Contrôle optimal Contrôle (mathématiques) Théorie de la commandeCiter ce document
Pierre Berthaud, « Gouvernance de la mondialisation : coopération ou pouvoir », HAL-SHS : économie et finance, ID : 10670/1.1zz6pb
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Résumé
Une double question se pose. D'abord factuelle, pourquoi de telles différences selon les domaines ? Si tout est affaire de puissance, pourquoi la domination des USA et/ou autres puissances ne se manifeste-t-elle pas de la même manière dans les différents domaines de la régulation internationale ? Ensuite, analytique. Quelle est la hiérarchie entre ces deux principes d'ordre dans le système international ? Qu'est-ce qui fait que la logique de la puissance l'emporte sur celle de la coopération dans certains cas et pas dans d'autres. Ce chapitre esquisse une réponse à ces deux questions en privilégiant toutefois le volet analytique et en se portant pour cela sur le terrain des théories de l'économie politique internationale (EPI). L'argumentaire procède en trois temps. D'abord quelques indications nécessaires sur l'EPI. Ensuite, la lecture que le courant libéral fait du problème de la gouvernance globale. Enfin, la lecture qu'en fait de l'approche réaliste.