« Je me révolte, donc nous sommes » (Albert Camus) : nouvelle réflexion politique sur la responsabilité individuelle pour le groupe, la société, la culture et la planète

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2019

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Andrew Samuels et al., « « Je me révolte, donc nous sommes » (Albert Camus) : nouvelle réflexion politique sur la responsabilité individuelle pour le groupe, la société, la culture et la planète », Actualités en analyse transactionnelle, ID : 10670/1.20f6df


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Cet article tente d’ouvrir la discussion sur le rôle de l’individu, en tant qu’opposé du groupe, dans les politiques progressives et radicales contemporaines. Les mots « changer les choses » viennent à l’esprit. Les idées académiques sur les contextes et les groupes dans lesquels les individus agissent sont importantes. Pourtant, il faut les revoir en profondeur. Les idées de Jung sur la relation entre les individus et le collectif social sont utiles, tout comme le livre de Camus L’Homme révolté (1951). Cet article présente une nouvelle réflexion sur les individus, aussi fracturés et brisés que distincts de l’unité autonome promue par les pensées néolibérales. Ils demeurent pourtant des individus.Je commencerai par quelques réflexions sur les individus et les groupes. Puis je me pencherai sur l’individu aujourd’hui, avec l’aide de Jung. Ensuite, je parlerai de L’Homme révolté de Camus. Enfin, j’explorerai les limites de la responsabilité personnelle.

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