Gaia Is No Loser: Planetarity Beyond Competition in Ursula Le Guin’s Vaster Than Empires and More Slow

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2020

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Pierre-Louis Patoine, « Gaia Is No Loser: Planetarity Beyond Competition in Ursula Le Guin’s Vaster Than Empires and More Slow », Revue française d’études américaines, ID : 10670/1.23nj35


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Dans Vaster than Empires and More Slow, Ursula Le Guin met en scène un groupe de scientifiques explorant une planète recouverte d’un réseau végétal doté d’une forme de conscience. La rencontre entre ce groupe déchiré par les conflits interpersonnels et cette conscience solitaire et sereine suggère qu’une vision agonistique du rapport social – vision où la compétition apparait comme une « loi de la nature » divisant les gagnants des perdants – peut-être remise en question par l’inscription de ce rapport dans une dynamique planétaire, échelle où les contours d’une telle loi se trouvent redéfinis.

Ursula K. Le Guin's 1970 short story Vaster than Empires and More Slow stages a group of scientists exploring a planet covered by a sentient vegetal network. The meeting between this group, steeped in interpersonal conflict, and the planetary sentience invites us to question agonistic visions of social life – visions in which competition appears as a “natural law” pruning the losers and letting the fittest thrive.

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