Claude Simon’s critical distances from political commitment Les réserves critiques de Claude Simon En Fr

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12 septembre 2019

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Marie Hartmann, « Les réserves critiques de Claude Simon », HALSHS : archive ouverte en Sciences de l’Homme et de la Société - notices sans texte intégral, ID : 10.4000/elfe.2838


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Résumé En Fr

Even if, as a young man, he had a communist party card, Claude Simon has never really been convinced by communist ideology. Over time, his reluctance increased, Russian and soviets’ political leaders are directly criticized in L’Invitation. By difference, in Le Jardin des Plantes, denunciation shows through an ironical tone and is mostly indirect. It uses poetical means like oxymoron and antinomy. It is showed by feminine figures which illustrates resistance to ideological or moral proscriptions.

Même s’il a disposé d’une carte du parti, Claude Simon n’a jamais été réellement convaincu par le communisme. Au fil du temps, la distance s’est creusée comme le montrent les mises en causes des principaux dirigeants russes puis soviétiques. En se focalisant sur le traitement de ces personnalités, dans L’Invitation et dans Le Jardin des Plantes, l’article souligne que la critique politique, telle que la pratique Claude Simon dans ce dernier roman, est essentiellement indirecte. Elle utilise l’ironie, elle procède par rapprochements inattendus, elle reprend des procédés poétiques comme l’oxymore et l’antinomie. Elle se déploie grâce à la présentation de figures féminines qui illustrent la résistance aux proscriptions idéologiques ou morales.

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