Les réunions de « dames » du Club psychologique du Gros Caillou: Foyer d’un féminisme protestant dans le Paris de l’entre-deux-guerres ?

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15 décembre 2019

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Florent Serina, « Les réunions de « dames » du Club psychologique du Gros Caillou: Foyer d’un féminisme protestant dans le Paris de l’entre-deux-guerres ? », HAL SHS (Sciences de l’Homme et de la Société), ID : 10.4000/rhsh.4262


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Résumé Fr

Au milieu des années 1920 un club dédié à l’étude collective des théories du psychiatre suisse CarlG. Jung vit le jour à Paris, à l’initiative de l’une de ses disciples bâloises. Quand bien même cegroupe de patients et d’amateurs était mixte, les femmes, animées par des idéaux mêlantaspirations spirituelles et féministes, n’en constituaient pas moins la colonne vertébrale. Enéclairant à travers le club dit du Gros Caillou un pan inexploré de l’histoire socio-culturelle de lapsychologie de l’inconscient dans la France de l’entre-deux-guerres, cette enquête nourried’archives encore inédites met en relief un modèle de féminité contrastant avec lesreprésentations généralement associées aux théories psychanalytiques freudiennes.

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