Chapitre VIII. De la non-temporalité de l’imparfait et du conditionnel en espagnol et en français

Résumé 0

Lorsqu’on entreprend de décrire l’histoire du verbe espagnol, la difficulté majeure à laquelle on se trouve confronté est d’expliquer l’étrange destin de ce qu’il est convenu d’appeler l’imparfait du subjonctif en -ra (cantara, comiera, subiera). Il n’est pas facile en effet d’expliquer l’évolution d’un « temps » de la conjugaison qui remonte à un plus-que-parfait de l’indicatif latin – si on en croit la définition des grammaires latines –, alors qu’on le retrouve aujourd’hui dans la partie s...

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