Decoupling Representations and the Chain of Arguments

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2021

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Informal Logic ; vol. 41 no. 2 (2021)

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Cristián Santibáñez, « Decoupling Representations and the Chain of Arguments », Informal Logic, ID : 10.22329/il.v41i2.6221


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Résumé En Fr

In this paper, I propose to understand argumentative decoupling—that is, the structural fact of the argumentative chain self-referring to one (or more) of its constituents (reason, data, conclusion, point of view) in subsequent arguments—as part of the way in which cognitive decoupling representation works. In order to support this claim, I make use of part of the discussion developed in cognitive studies and evolutionary theories that describes this phenomenon when explaining intentional communication. By using Toulmin’s model, I exemplify how decoupling representation may be seen as part of a chain of arguments in which a second argumentative move is usually oriented to action. I conclude by reflecting on the relationship between this human cognitive capacity and the problem of recursion to hold that these two concepts are not synonymous but stand in a subordinated and complementary relation to each other.

Dans cet article, je propose de comprendre le découplage argumentatif, c'est-à-dire le fait structurel de la chaîne argumentative consistant à se référer à un (ou plusieurs) de ses constituants (raison, données, conclusion, point de vue) dans des arguments ultérieurs, dans le cadre du fonctionnement de la représentation du découplage cognitif. Pour étayer cette affirmation, j'utilise une partie de la discussion développée dans les études cognitives et les théories évolutionnistes qui décrivent ce phénomène pour expliquer la communication intentionnelle. En utilisant le modèle de Toulmin, je montre comment la représentation du découplage peut être considérée comme faisant partie d’une chaîne d’arguments, dans laquelle un deuxième mouvement argumentatif est généralement orienté vers l’action. Je conclus en réfléchissant à la relation entre cette capacité cognitive humaine et le problème de la récursivité pour affirmer que ces deux concepts ne sont pas synonymes mais se situent dans une relation subordonnée et complémentaire l'un à l'autre.

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