Les artistes plasticiens espagnols et l’exil en France : Un état de la question

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2014

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Dolores Fernández Martínez et al., « Les artistes plasticiens espagnols et l’exil en France : Un état de la question », Exils et migrations ibériques aux XXe et XXIe siècles, ID : 10670/1.2b1fu0


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Cet état de la question est lié aux questions qui ont surgi dans l’étude de l’exil des artistes plasticiens espagnols, tout particulièrement celles liées la notion d’École de Paris et aux dessins réalisés dans les camps de concentration. Ce sont des questions relatives au caractère espagnol de cet art, à la définition même de l’exil, à la durée et à la localisation géographique de celui-ci. Au final, on peut avancer l’idée que le manque de normalité dans l’art espagnol contemporain persiste, en dépit du temps écoulé depuis la mort de Franco, des musées et des hommages rendus, tardifs et inégaux.

The current situation of the issue has to do with the problems about the study of the exile of Spanish plastic artists, more specifically with those exiled in France, the School of Paris and the drawings made in concentration camps. Those problems reach the Spanish character of the art, the definition of exiled, the timeline of exile or the geographic location. Finally, the lack of normalcy in Spanish contemporary art persists even now despite the time passed since Franco’s death, the museums and the uneven and untimely recognition and homages.

El estado de la cuestión que se plantea tiene que ver con los problemas que han ido surgiendo en el estudio del exilio de los artistas plásticos españoles, especialmente los relacionados con los exiliados en Francia, en torno a la Escuela de París y a los dibujos hechos en los campos de concentración. Son problemas que afectan a la españolidad del arte, a la misma definición de exiliado, a la temporalización del exilio o a la localización geográfica. Finalmente se plantea que la falta de normalidad en el arte español contemporáneo persiste a pesar del tiempo transcurrido desde la muerte de Franco, de los museos y de los homenajes, desiguales y a destiempo.

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