Challenges of Agricultural Adaptation to Climate Change in Nigeria: a Synthesis from the Literature

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20 décembre 2010

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Anselm A. Enete et al., « Challenges of Agricultural Adaptation to Climate Change in Nigeria: a Synthesis from the Literature », Field Actions Science Reports, ID : 10670/1.2e9ncf


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Résumé En Fr Es

Climate change is perhaps the most serious environmental threat to the fight against hunger, malnutrition, disease and poverty in Africa, mainly through its impact on agricultural productivity. This paper discusses the challenges of agricultural adaptation to climate change in Nigeria under the categories (adapted from FAO, 2001) - Hunger and Poverty; Agricultural funding for research and technology development; Traditional agricultural practices; Trade Liberalization and Market Development;  Policies, Institutions and Public Goods; and Information and Human Capital. The rural population, who produce more than 70% of the food eaten in Nigeria, are disproportionately poor and face malnutrition and disease. Both government and the private sector, which should drive the sector through consistent policies, robust funding and infrastructure development, have failed to accord this problem the priority it deserves. Moreover, the anticipated benefit from trade liberalization has failed to trickle down to the African farmer, coupled with the inefficient local marketing systems. In addition, the farmers are slow in changing their farming practices such as bush burning, deforestation and rain-fed agriculture and they lack the requisite education, information and training necessary to adapt to climate change. It is recommended that the government should not only decentralize its programs on poverty/HIV-AIDS and agricultural research (funding and activities), but should make them participatory. In addition, there should be an explicit national agricultural policy framework, adequate provision for irrigation, drainage, weather forecasting and other agricultural technology infrastructure, an incentive for training in agriculture, participatory and on-going capacity building for farmers, drought resistant and short duration high yielding crops development, integration of indigenous and modern knowledge on climate change adaptation, strengthening of the extension services, and encouragement for the formation of farmer groups.

Le changement climatique est peut-être la menace environnementale la plus sérieuse qui pèse sur la lutte contre la faim, la malnutrition, les maladies et la pauvreté en Afrique, principalement en raison de son impact sur la productivité agricole. Cet article aborde les enjeux de l’adaptation agricole au changement climatique au Nigéria dans les catégories Faim et Pauvreté ; Financement de la recherche et du développement de technologies dans le secteur de l’agriculture ; Pratiques agricoles traditionnelles ; Libéralisation des échanges commerciaux et Développement du marché ; Politiques, Institutions et Biens publics ; et Informations et Capital humain. La population rurale, qui produit plus de 70 % des denrées alimentaires consommées au Nigéria, est extrêmement pauvre et doit faire face à la malnutrition et aux maladies. L’Etat, tout comme le secteur privé, qui devraient stimuler le secteur par le biais de politiques cohérentes de financements solides et du développement d’infrastructures, n’ont pas accordé au problème la priorité qu’il mérite. En outre, les bénéfices attendus de la libéralisation du commerce n’ont pas été répercutés sur les agriculteurs africains, ce qui n’est pas sans relation avec l’inefficacité du système des marchés locaux. Par ailleurs, les agriculteurs sont lents à modifier leurs pratiques agricoles, comme les feux de brousse, la déforestation et l’agriculture pluviale. Ils manquent de l’éducation, des informations et de la formation nécessaires pour s’adapter au changement climatique. Le gouvernement devrait non seulement décentraliser ses programmes sur la pauvreté / le VIH-SIDA et sur la recherche agricole (financement et activités) mais aussi les rendre participatifs. En outre, différents éléments pourraient être mis en place : un cadre de politique agricole nationale explicite ; une planification des systèmes d’irrigation et de drainage, des prévisions météorologiques et d’autres infrastructures technologiques agricoles adéquates ; des mesures d’incitation pour suivre des formations en agriculture ; un développement des compétences participatif et continu pour les agriculteurs ; le développement de cultures résistantes à la sécheresse à croissance rapide et à haut rendement ; l’intégration des connaissances ancestrales et modernes dans l’adaptation au changement climatique ; des mesures de renforcement des services d’extension, et des mesures d’encouragement pour la formation de groupes d’agriculteurs.

El cambio climático es quizás la amenaza medioambiental más seria que enfrenta la lucha contra el hambre, la malnutrición, la enfermedad y la pobreza en África, principalmente debido a su impacto en la productividad agrícola. Este artículo trata de los retos de la adaptación agrícola al cambio climático en Nigeria en las categorías 2 – hambre y pobreza; financiación agrícola para la investigación y el desarrollo tecnológico; prácticas agrícolas tradicionales; liberalización del comercio y desarrollo del mercado; políticas, instituciones y bienes públicos; e información y capital humano. La población rural, que produce más del 70 % de los alimentos consumidos en Nigeria, es extremadamente pobre y sufre de malnutrición y enfermedades. Ni el gobierno ni el sector privado, que deberían implementar políticas coherentes, financiaciones sólidas y fomentar el desarrollo de infraestructuras, han otorgado a este problema la prioridad que merece. Al mismo tiempo, los beneficios esperados de la liberalización del comercio no han tenido efecto sobre los agricultores africanos, y los sistemas de mercado local son ineficaces. Asimismo, los agricultores son lentos en modificar sus prácticas de cultivo como la quema de maleza, la deforestación y la agricultura pluvial, y carecen de la educación, información y capacitación necesarias para adaptarse al cambio climático. Recomendamos que el gobierno no solamente descentralice sus programas sobre la pobreza / VIH–SIDA y la investigación agrícola (financiación y actividades), sino que también los haga participativos. Asimismo, debería haber un marco explícito para la política agrícola nacional; un sistema de irrigación, drenaje, previsión meteorológica y otras infraestructuras tecnológicas adecuadas para la agricultura; medidas de incentivo para la capacitación agrícola; un desarrollo de capacidades participativo y permanente para los agricultores; el desarrollo de cultivos resistentes a la sequía y de alto rendimiento sobre un corto plazo; la integración de conocimientos ancestrales y modernos sobre la adaptación al cambio climático; medidas para reforzar los servicios de divulgación; y apoyo para la formación de grupos de agricultores.

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