Le parler traditionnel de Saint-Amant-de-Boixe et l'extrémité occidentale du Croissant: 2e partie

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2022

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Nicolas Quint, « Le parler traditionnel de Saint-Amant-de-Boixe et l'extrémité occidentale du Croissant: 2e partie », HAL-SHS : linguistique, ID : 10670/1.2etded


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Résumé Fr

Saint-Amant-de-Boixe et plusieurs autres communes (Aussac-Vadalle, Nanclars et Villejoubert) de l’ancien canton dont cette localité était le chef-lieu présentent une particularité notoire. Les parlers traditionnels qu’on y a pratiqués au moins jusqu’au XXe siècle constituent l’extrémité la plus occidentale du Croissant, une aire linguistique située au nord du Massif Central et qui se caractérise par l’existence de variétés langagières présentant à la fois des traits considérés comme typiques de l’occitan (ou langue d’oc) et des langues d’oïl. Dans cet article, je présenterai tout d’abord le Croissant linguistique. Ensuite, dans une seconde partie, je parlerai plus en détail de la partie charentaise du Croissant. Puis, dans une troisième partie, je démontrerai l’appartenance de Saint-Amant-de-Boixe et des trois autres communes mentionnées ci-dessus à la zone du Croissant, en me fondant sur les rares données disponibles, essentiellement celles contenues dans la thèse du linguiste charentais Adolphe-Louis Terracher (1914). Je conclurai enfin sur les perspectives qui s’ouvrent pour essayer de mieux connaître les parlers croissantins de Saint-Amant-de-Boixe et de ses environs ainsi que sur l’intérêt scientifique et patrimonial de ces parlers, situés depuis des siècles à la croisée des isoglosses et de diverses influences.

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