Ce que les luttes de femmes de chambre doivent à la mémoire sociale

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Loin d’être improbables, les grèves de femmes de chambre s’inscrivent dans le prolongement des trajectoires de résistances individuelles des femmes immigrées. Et c’est dans la réactivation d’une histoire en partage, de la mémoire collective des luttes pour la reconnaissance de l’esclavage et des mobilisations syndicales pour l’égalité des droits entre toutes les travailleuses et les travailleurs, que s’énoncent leurs revendications. Dans cette reconnaissance sociale, c’est aussi la transmission de l’action syndicale qui se joue.

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