Review of "Négrier (Emmanuel), Djakouane (Aurélien) – Festivals, territoire et société. – Paris, Ministère de la Culture-DEPS, Presses de Sciences Po, 2021 (Questions de culture). 260 p." Compte-rendu "Négrier (Emmanuel), Djakouane (Aurélien) – Festivals, territoire et société. – Paris, Ministère de la Culture-DEPS, Presses de Sciences Po, 2021 (Questions de culture). 260 p." En Fr

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18 juillet 2023

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Élodie Bordat-Chauvin, « Compte-rendu "Négrier (Emmanuel), Djakouane (Aurélien) – Festivals, territoire et société. – Paris, Ministère de la Culture-DEPS, Presses de Sciences Po, 2021 (Questions de culture). 260 p." », HAL-SHS : sciences politiques, ID : 10.3917/rfsp.725.0881


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Résumé En Fr

Review of the book by Négrier and Djakouane.The central concept of the book, organised into seven chapters, is 'festivalisation'. This notion was coined by E. Négrier in a 2015 article. Here, it is sometimes defined as 'the multiplication of events' (p.69), but not exclusively, as festivalisation is said to have an 'anthropological scope' observed in 'social practices and which translates into a transformation of our relationships to culture' (p.240). This phenomenon, concerning a 'structurally heterogeneous world' (p.242 ) is measured throughout the book using various indicators: the number of new events created - 62% of the 3,499 festivals in the sample were created after the year 2000, in different cultural sectors -, the increase in the number of French people who say they have attended a festival in the last ten years (p.138), the importance of the sector in terms of jobs and income for artists and technical and administrative teams.

Recension du livre de Négrier et Djakouane.Le concept central de l’ouvrage, organisé en sept chapitres, est la « festivalisation ». Cette notion est forgée par E. Négrier dans un article de 2015. Ici, il est parfois défini comme « la multiplication des événements » (p.69), mais pas uniquement, car la festivalisation aurait une « portée anthropologique » observée dans les « pratiques sociales et qui se traduit par une transformation de nos rapports à la culture » (p.240). Ce phénomène, portant sur un « monde structurellement hétérogène » (p.242) est mesuré tout au long de l’ouvrage à l’aide de différents indicateurs : le nombre de nouvelles créations d’événements – 62% des 3 499 festivals de l’échantillon ont été créés après l’an 2000, dans différents secteurs culturels–, l’augmentation du nombre de Français·es déclarant avoir participé à un festival ces dix dernières années (p.138), l’importance du secteur en termes d’emplois, de revenus pour les artistes, les équipes techniques et administratives.

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