Marché du travail : le pire a (pour l’instant) été évité

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Eric Heyer et al., « Marché du travail : le pire a (pour l’instant) été évité », Archive ouverte de Sciences Po (SPIRE), ID : 10670/1.32ggg0


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Résumé Fr

L'effondrement généralisé de l’activité lors du premier confinement de 2020 et l’alternance de « stop and go » depuis plus d’un an ont mis le marché du travail à rude épreuve et révélé une différence d’approche et de traitement de la crise entre la zone euro et les États-Unis. Si la baisse du temps de travail via le recours massif au chômage partiel a permis de limiter le recul de l’emploi et la progression du chômage en zone euro en 2020, aux États-Unis en revanche, en l’absence de tels dispositifs, le recul de l’emploi a été massif et s’est traduit par une forte hausse du taux de chômage. En 2021, en zone euro, le retour vers la tendance de productivité antérieure à la crise de la Covid-19, l’effet de flexion de la population active et la fin des dispositifs de chômage partiel devraient entraîner une normalisation sur le marché de l’emploi, mais au prix d’une hausse significative du chômage. En 2022, sous l’effet d’une reprise de la croissance, et malgré le dynamisme de la population active, le taux de chômage devrait globalement baisser – à l’exception de la France, qui connaîtrait un fort effet de flexion de la population active – quel que soit le scénario retenu. [Premier paragraphe]

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