Le blues, c’est un homme qu’on voit de dos, s’éloignant sur la route

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2019

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Alain Vulbeau, « Le blues, c’est un homme qu’on voit de dos, s’éloignant sur la route », Spécificités, ID : 10670/1.37a99d...


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Ce texte présente la transcription d’un entretien mené avec Willie Casey, en avril 2016 aux États-Unis, à Huttington (Long Island, État de New York). Ce vieux guitariste de blues, presque centenaire puisqu’il est né le 18 août 1916, est répertorié dans les ouvrages spécialisés sous le pseudonyme de Chuck Flap et s’est donc fait connaître sous le nom de Willie Chuck Flap Casey. L’entretien s’est tenu le 10 avril 2016, au domicile d’un ami, dans son sous-sol aménagé confortablement en studio d’enregistrement. Il a duré environ trois heures et s’est déroulé en deux parties, d’une heure et demie chacune. J’en avais obtenu l’autorisation grâce à l’accord de Yazoo et d’Okeh, producteurs de l’anthologie Un siècle de blues : 1916-2016 et, bien sûr, celui de Willie CF Casey lui-même. J’avais rencontré préalablement le bluesman la veille pendant environ une heure pour me présenter et expliquer le but de l’entretien. J’ai été frappé par la vitalité de ce vieux monsieur qui était accompagné par un de ses petits-fils, Willie Junior ; le contact a été très vite confiant, surtout après que j’ai expliqué que je jouais moi-même du blues sur une Dobro D33. Il s’agit d’une guitare avec une caisse en métal identique à celle dont il s’est servi à la fin de sa carrière. Je lui ai présenté les grandes lignes de ce que souhaitais discuter avec lui et l’on a convenu d’un rendez-vous pour le lendemain.

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