Un, deux, trois, quatre, dix mille Althusser ? : Considérations aléatoires sur le matérialisme aléatoire

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2005

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Yoshihiko Ichida et al., « Un, deux, trois, quatre, dix mille Althusser ? : Considérations aléatoires sur le matérialisme aléatoire », Multitudes, ID : 10670/1.41bjii


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Le « matérialisme aléatoire » ne constitue pas simplement la philosophie de ce que, dans une perspective un peu trop linéaire, on pourrait appeler le « quatrième Althusser ». Même si, dans la dernière décennie de sa vie, Althusser tente bien de construire comme une « philosophie nouvelle », conçue comme une alternative au « matérialisme dialectique », il faut plutôt y voir, derrière les arguments passés, si fermes et si tranchants, des différents Althusser, quelque chose comme une couche pratique discrète, consciente ou inconsciente, dans laquelle ils auraient trouvé leur véritable point d?ancrage. Dans cette philosophie du « commencement à partir de rien », il est d?abord question de ce qui a toujours été pour lui à la fois la question la plus nécessaire et la plus impensable : celle de la subjectivation politique.

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