El mito de las privatizaciones en Chile

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17 août 2012

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Vergara Estévez Jorge, « El mito de las privatizaciones en Chile », Polis, ID : 10670/1.42ylp4


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Sostiene el autor que las privatizaciones continúan siendo un tema central de la política latinoamericana, y que los mismos argumentos sobre su eficiencia y necesidad se repiten en todos sus países. Denuncia esto como una dependencia de las elites gobernantes latinoamericanas a “los requerimientos de la globalización”, y agrega que este no es sólo un tema ideológico, pues las privatizaciones permiten comprar a bajo precio empresas de alta rentabilidad. Analiza luego la historia de la irrupción en Chile de las privatizaciones, y sus consecuencias para la economía nacional, argumentando que éstas constituyeron un instrumento fundamental del cambio de manos del poder tras el golpe de Estado de 1973, y que desde 1990 han sido una de las principales bases de lo que define como una democracia neoliberal.

L’auteur affirme que les privatisations continuent de constituer un thème central de la politique latino-américaine, et que les mêmes arguments relatifs à leur efficacité et leur nécessité se répètent dans tous les pays. Il dénonce cela comme une dépendance des élites gouvernantes latino-américaines aux « exigences de la mondialisation », et ajoute qu’il ne s’agit pas uniquement d’un thème idéologique, car les privatisations permettent d’acheter à bas prix des entreprises de forte rentabilité. Par la suite, il analyse l’histoire de l’irruption au Chili des privatisations, et leurs conséquences pour l’économie nationale, argumentant que celles-ci ont constituées un instrument fondamental du transfert du pouvoir après le coup d’Etat de 1973, et que depuis 1990 elles ont été l’une des principales bases de ce qui se définit comme une démocratie néolibérale.

The author maintains that the privatization of enterprises remains a central issue in Latin-American politics, and that the same arguments about its efficiency and necessity are repeated in all of its countries. He denounces this as a dependency of the Latin-American governing elites to the “requirements of globalization”, and adds that it is not only an ideological issue, because privatizations allow to buy enterprises at low prices with high return. He then analyses the history of the irruption of privatizations in Chile, and its consequences on its national economy, arguing that they represented a fundamental tool that made possible for power to change hands after the 1973 coup d’Etat; and that since 1990, they have been one of the key elements of what the author defines as a neoliberal democracy.

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