Les corps au cinéma à l’épreuve de la 3D : immersion, distanciation et empathie

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2014

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Isabelle Rieusset-Lemarié, « Les corps au cinéma à l’épreuve de la 3D : immersion, distanciation et empathie », Figures de l'Art. Revue d'études esthétiques (documents), ID : 10670/1.45pky0


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Soit trois films choisis pour leur traitement de la 3D et pour leur mise en jeu, à travers elle, d’une modalité du corps indissociable d’une posture particulière d’immersion : Pina (2011) de W. Wenders, Hugo Cabret (2011) de M. Scorsese et Avatar (2009) de J. Cameron. Au film Pina correspond un « corps en danse » dans une immersion intercorporelle où le spectacle se transforme en empathie. Au film Hugo Cabret correspond un «corps automate » dans un environnement mécanique mis en scène par une immersion, atypique, distanciée. Au film Avatar correspond un «corps en osmose » dans une immersion matricielle dupliquant le dispositif spectatoriel du cinéma, proche du rêve, efficace en raison de l’absence d’interactivité.

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