Studentische Mobilität nach dem Ende des Ersten Weltkriegs als Beitrag zur Völkerverständigung? Das Beispiel der deutschen Studenten in Frankreich

Fiche du document

Auteur
Date

1 décembre 2016

Type de document
Périmètre
Langue
Identifiants
Relations

Ce document est lié à :
info:eu-repo/semantics/reference/issn/1961-991X

Organisation

PREO

Licences

Licence CC BY 4.0 , info:eu-repo/semantics/openAccess


Résumé Fr En

Même si dès 1921 les premiers Allemands arrivaient en France pour des échanges universitaires, la méfiance, le rejet et l’incompréhension envers le pays voisin restaient très répandus dans les deux pays. Si nombre de personnes considéraient la jeune génération comme les meilleurs ambassadeurs de l’Allemagne, parce que présumés sans préjugés, d’autres exigeaient une sélection sévère pour permettre seulement à une petite élite de profiter de ces échanges. La présente contribution exploite d’abord les comptes rendus personnels des étudiants ayant participé aux échanges universitaires et présente, dans un deuxième temps, les institutions comme la Société des Nations et la Cité Universitaire qui ont contribué au développement de ces échanges universitaires.

In 1921 the first German exchange students arrived at French universities, despite the widespread animosity, rejection and misunderstanding which reigned between the two countries. Many people felt that this young generation, untainted by preconceived ideas, would be the perfect ambassadors for Germany. Others insisted on rigid selection process allowing only a small elite to benefit from the exchanges. This article examines the exchange experience by looking at the personal reports written by these students and published in a variety of contemporary journals. It also explores the contribution of two institutions responsible for the development of university exchanges at that time – the League of Nations and the Cité Universitaire.

document thumbnail

Par les mêmes auteurs

Sur les mêmes sujets